Le Seigneur dans sa grande bonte, dirige mon esprit pour que je puisse participer avec toute humilite a sa Gloire Prochaine.

Le Seigneur dans sa grande bonte, dirige mon esprit pour que je puisse participer avec toute humilite a sa Gloire Prochaine.

Louange a L’Eternel

Au moment oi? mon c?ur est affaibli,Je loue mon Dieu, lui l’Eternel.Il me releve me fortifie,Mon grand Dieu notre Eternel.

Avec mes s?urs, mes freres, aussi nous sommes reunis,Je loue mon Dieu, lui l’Eternel.Dans la louange, on le glorifie..Mon grand Dieu mon Eternel.

Lorsque j’exhorte, j’evangelise,Je loue mon Dieu, lui l’Eternel.Par les paroles je prophetise,Pour mon grand Dieu le Eternel.

Pour sa grace la plus exquise,Je loue notre Dieu, lui l’Eternel.Alors mes ri?ves, Cela harmonise,Lui mon grand Dieu mon Eternel.

Lorsque je jeune c’est avec amour,Je loue mon Dieu, lui l’Eternel.Il a le corps concernant le parcours,Lui mon grand Dieu le Eternel.

Pour ce cadeau fera via amour,Je loue mon Dieu , lui l’Eternel.Ma vie je lui procure sans detours,A mon grand Dieu le Eternel.

Dans La Souffrance :

Il y a au fond de moi une lourde noirceur,Serait-ce le poids de toutes mes erreurs ?Si c’est beaucoup le cas alors a quoi bon,Je ne sais jamais a qui meme demander pardon.

Dans la souffrance je ne reconnais nullement Dieu,Je ne ressens jamais l’essence venant des cieux.La life est dure, elle tiraille mon existence,Je cherche mais je ne vois nullement ou reste la delivrance.

On voit autour de moi une lumiere eclatante,Qui efface de mon esprit ses torpeurs latentes.Je ne pourrais ouvrir les yeux, je n’ose comprendre,et cela vient de m’arriver, j’habite sorti de mes meandres.

Tout au tour de moi reste semblable, tout est tout autre,Quelque chose en moi a change est-ce sentiment ?L ’amour du pere acqui via certitude,Etre maintenant plonge dans sa beatitude.

A Dieu souffrances reste autres maladies,que le pere a envoyees dans l’oubli !Bienvenu en moi Saint-Esprit puissant,Je me laisse guider, tu me conduis au firmament.

Il va i?tre l’heure que tu te reveil :

N’entends-tu nullement l’appel de ton pere ?Il est la il cris pour te aller de l’enfer.N’est pas peur de votre qu’il peu penser,Il n’est pas la pour te juger.

Tu ouvre les yeux, il coule concernant tes joues,Les larmes d’un gamin qui ne sait gui?re ou,Chercher le reconfort dont il a besoin,Neanmoins, ton pere est la il te tend la main.

Humilie-toi, avoue-moi donc tes fautes,N’est nullement peur mon gamin nous sommes cotes a cotes.Je ne cesserais jamais d’etre votre pere aimant.Oui je t’aime et ce amplement,

Grace au pouvoir d’la redemption,Je t’accorde le pardon.Je te lave de l’ensemble de tes peches,Oui notre fils pour le jour tu renais.

Tu seras le sujet de ma gloire,Pour qu’en toi je puisse entrevoir,Le bonheur au quel j’ais crus,Celui que je n’esperais plus.

Je pose sur toi la benediction,Et si tu chute demande-moi pardon.Je ne cesserais jamais de t’inonder d’amour,Car je t’ai retrouve cela pour forcement.

Le corps est malade :

C’est la mort dans l’ame, que j’ouvre le regard,Ou paraissent mes freres, unis deux a 2 ?Ils louent, ils prient, ils exhortent avec confiance.Et toi le Dieu, tu me conseilles la mefiance.

Je suis la parmi eux, mais je ne degote jamais ton esprit,Celui que tu nous donnes, en payant un tri?s prix.Par amour avec compassion, tu nous separes du peche,Je le vois la bien present, de mes yeux eclaires..

O mon Dieu, ton eglise reste malade,Un membre reste contamine, d’un en gali?re impalpable.Je ne comprends jamais Seigneur, qu’il puisse i  nouveau sortir,De leur bouche aceree, deux perfides soupirs.

Ils ont J’ai langue tendue, lorsqu’ils tournent le dos,Neanmoins, mis a J’ai lumiere, ils font des doux ils font des beaux.Dans ma grosse deception, tu rappelles a mon esprit,que l’homme reste pecheur, mais tu en as paye le prix.

Tu me conseilles de prier, de rappeler a leur conscience,Qu’ils ont apporte un vie, pour le Pere sans reticence.O notre Dieu, ton eglise reste malade,Un membre est contamine d’une douleur impalpable.

Ce a quoi nous sommes destine :

En venant au monde, qui sait pourquoi nous sommes fais ?Mais c’est au fil du temps des temps et des annees,que notre caractere s’affirme, que nous prenons conscience,De cela au fond de nous, a sa propre reelle importance.

Cela arrive pourtant, pour de nombreuses raisons,que le corps se laisse aller, a trop de vives passions.Bien souvent attache a tant de ressemblance,Nous laissons filer, le fondement de l’existence.

Ainsi au service pour notre Pere des cieux,Du monde elle sera, mise sous nos yeux.La relation qu’il y a, entre l’existence et le destin,Sera donc relevee et mise dans un ecrin.

Sur le fondement de la vie s’appuie la destinee,Cree concernant le service et surtout pour s’aimer.A chacun de se tenir a sa place,Sans oublier que Dieu nous va etre mis i  ci?te.

Pour toi mon Dieu :

Pour toi mon Dieu je vivrai dans la loi,Je profiterai de chaque minute pour m’approcher de toi.Je parcourrai les lignes de ton livre Saint,Je donnerai un sens a mes ri?ves pour faire le beaucoup.

Pour toi mon Dieu, je sacrifierais ce qui m’est cher,Je me detacherai de ce qui est terre a terre.J’oublierai et cela est materiel,Car desormais mon regard est tourne aupres du ciel.

Pour toi mon Dieu J’me leverai tot,Je viendrai te parler a toi qui es la haut.Je te raconterai les peines, faire mes besoins et les joies,Pour que avec amour tu me prennes dans tes bras.

Pour toi mon Dieu je m’offrirai en esclavage,Sachant que ton amour tu le donnes en partage.Etre esclave de ta main le bon SeigneurC’est votre tourner par votre qu’il y a de meilleur.

Moi Pecheur :

Il eut un temps dans ma vie, Ou je n’etais que pecheur ! Ce temps la est bien fini, Car j’ai chasse la noirceur.

Pour le moment la je mentais, volais, je n’etais qu’un egoiste, J’ai perdu en moi bien ce que j’avais de pacifiste. En outre, J’me suis drogue, j’ai renie la famille, Enfin j’ai connu la luxure, j’habite parti en vrille.

Aujourd’hui j’ai rejoint le pere, ainsi, grace a lui J’me libere. J’ai expulse de moi votre salissure. Cela au plus profond n’etait que pourriture.

O Seigneur, avec ta main emplie de grace, Vient encore effacer les dernieres traces. De ma bouche vient donc enlever, Jurons et autres impuretes.

Cela compte i  mon sens pour le jour, C’est J’ai force de ton amour. Je ne serai plus une injure a ton nom. O Seigneur je te requi?te pardon.

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